Et si la course à pied pouvait changer votre vie et vous mener au bout de l'un des déserts les plus extrêmes du monde ? En novembre 2024, six femmes françaises passionnées de course à pied formant l’équipe Las Chicatas, ont relevé un défi hors du commun : parcourir 500 km à travers l’un des déserts les plus hostiles au monde, l’Atacama (TSP Atacama). Bien plus qu’une simple performance physique, cette aventure a été une véritable démonstration de résilience, d’organisation et de solidarité féminine.
Au cœur de cette aventure, Shokz a soutenu l’équipe Las Chicatas en leur fournissant à chacune l'OpenRun Pro 2, un casque à conduction osseuse qui leur a permis de rester connectées à leur environnement tout en se concentrant sur leur défi.
À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, revenons sur cette épopée inspirante, symbole de dépassement de soi et de détermination, ainsi que sur l’engagement de Shokz aux côtés des coureuses.
Une préparation rigoureuse pour un défi hors norme
Se lancer dans une course de 500 km en haute altitude et en conditions extrêmes requiert une préparation physique et mentale sans faille. Hors des sentiers battus, l'équipe Las Chicatas a dû adapter son entraînement pour affronter les difficultés uniques du désert de l'Atacama.
L’entraînement a reposé sur une combinaison d’endurance, de fractionné et de renforcement musculaire. Chaque coureuse a suivi une routine stricte. « On courait jusqu’à cinq fois par semaine, parfois en enchaînant des séances longues pour habituer notre corps à un effort prolongé », racontent-elles.
Cependant, vivant en milieu urbain, elles n’ont pas eu la possibilité de se préparer en altitude. Pour pallier ce manque, un stage en montagne pour se familiariser avec les dénivelés a été nécessaire, mais la véritable épreuve d’acclimatation n’a débuté qu’à leur arrivée sur place, une semaine avant la course.
L’organisation a été un élément clé du succès. Réparties en deux équipes de trois, elles se relayaient toutes les quelques minutes, avec des blocs de 7 à 8 km, permettant à chacune de se reposer et de récupérer entre chaque effort. « Quand on courait, on alternait entre des relais courts et plus longs, surtout dans les montées. Cela nous a permis de mieux gérer l’effort et de rester efficaces malgré la fatigue », souligne Andréa. Dans des températures variant de -2°C la nuit à 35°C en journée, la gestion de l’hydratation, de la nutrition et du sommeil était cruciale. Malgré ces conditions extrêmes, aucune d’entre elles n’a souffert de blessure ou de mal aigu des montagnes, témoignant la minutie de leur préparation.
La puissance de la solidarité féminine
Dans le monde du sport, et en particulier en course à pied, les femmes sont souvent confrontées à des idées préconçues sur leurs capacités physiques. Pourtant, des études montrent qu’en ultra-endurance, les femmes possèdent une résistance exceptionnelle à la fatigue et une meilleure capacité à gérer la douleur.
Las Chicatas en est la parfaite illustration. Bien qu’individuellement compétentes, c’est leur force collective qui a fait la différence. Chaque coureuse était attentive aux autres, adaptant les relais en fonction des niveaux de fatigue, s’assurant que personne ne dépasse ses limites au risque de compromettre l’ensemble de l’équipe. « On faisait attention les unes aux autres. Si on voyait qu’une coéquipière avait du mal, on lui disait de prendre une pause et on ajustait l’effort pour qu’elle puisse récupérer », souligne Amélie. Contrairement aux courses classiques où la performance prime, ici, c’était la cohésion et l’entraide qui faisaient la force du groupe.
Cette approche solidaire reflète aussi une réalité plus large : dans tous les domaines, les femmes doivent souvent conjuguer performance et adaptation, jonglant entre responsabilités professionnelles, personnelles et sportives. Le sport devient alors une métaphore du quotidien, où la persévérance et le soutien mutuel permettent de surmonter les obstacles.
En parallèle de leur course, Las Chicatas a tenu à donner un sens encore plus fort à leur engagement en collectant des fonds pour une association aidant les femmes en rémission du cancer à retrouver confiance et énergie à travers le sport. Cette initiative souligne leur conviction que la performance physique ne se limite pas à la compétition, mais peut aussi être un levier de reconstruction et de résilience.
Shokz : une technologie révolutionnaire au service des coureuses
Pour toute coureuse, trouver l'équilibre entre concentration, motivation et sécurité est essentiel. Lors des entraînements, l’équipe a pu compter sur les casques Shokz, conçus pour répondre aux besoins spécifiques des coureurs et coureuses. « Ce que j’adore avec Shokz, c’est qu’on peut courir en écoutant de la musique sans être coupées du monde autour de nous. On entend les voitures, les vélos, et ça c’est vraiment important pour la sécurité », affirme Coline.
La technologie de conduction osseuse, qui laisse les oreilles libres, a permis aux coureuses de rester pleinement conscientes de leur environnement, un critère essentiel tant pour la sécurité que pour la coordination en équipe.
Tout au long des 500 km de course, la légèreté des écouteurs Shokz et leur excellent design garantissent également un confort de port prolongé, sans risque de glissement dû à la sueur.
Un message pour toutes les femmes : osez courir, osez vous dépasser
L’expérience de Las Chicatas est une inspiration pour toutes celles qui hésitent à se lancer, que ce soit en course à pied ou dans toute autre discipline. Loin des stéréotypes et des limitations, elles ont prouvé que la force d’une femme ne réside pas seulement dans ses capacités physiques, mais aussi dans sa persévérance, sa solidarité et sa capacité à transformer chaque défi en opportunité.
En cette Journée internationale des droits des femmes, leur message est clair : « N'écoutez pas ceux qui disent que vous ne pouvez pas. Écoutez votre corps, suivez votre envie, et foncez vers vos objectifs, quels qu’ils soient, courez vers vos propres victoires. »
Shokz est fier d’accompagner toutes les femmes qui choisissent de se dépasser, qu’elles soient amatrices ou athlètes confirmées. La course ne se résume pas qu'à la vitesse ou à la distance, mais également à la liberté et à la confiance que l’on gagne à chaque foulée.